Des lacs, des chevaux, la steppe, des montagnes : le Kirghizstan en famille !

Après vous avoir donné des infos pratiques pour organiser un voyage au Kirghizstan en famille, place à la découverte de ce beau pays ! Voici nos 2 semaines et demie sur place, fin août 2018 ! Arthur a 8 ans et Thibaut 6 ans. Le récit n’est pas chronologique mais « par thème ». Pour voir notre parcours, rendez vous sur l’autre article. Maintenant, c’est parti : attention les yeux !

Bichkek, la capitale

Logiquement, les séjours commencent tous par ici, en arrivant par avion. Sauf si vous êtes venus à vélo comme les courageux de Un tour à vélo 🙂 ! La capitale du pays offre une architecture russe, avec de grandes places et de grands bâtiments. Nous avons fait un tour dans la ville le dernier jour avec un passage au parc Oak, à la place des fontaines Ala Too.

Il y a également un parc de jeux vers le stade, le parc Panfilov, parc qui nous a paru désuet le premier jour, mais très bien le dernier jour 😀 ! On paie au manège (60 soms). Cela m’arrange que les garçons n’aiment pas les manèges à sensation car je n’ai ainsi pas eu de cas de conscience avec la sécurité (tout semble vieux)… Nous avons quand même grimpé dans la grande roue, pour admirer Bichkek d’en haut et cela vaut le coup d’œil.

Nous avons également exploré le bazar d’Och pour acheter des souvenirs. Il y a peu de marchands de souvenirs ou artisanat local dans le pays. Du coup, nous avons fait le plein au bazar d’Och ! C’était le dernier jour, et nous avions déjà vu des bazars donc nous nous sommes focalisés sur ce que nous voulions. Les bazars sont de grands marchés, avec pleins de petites échoppes. A Kochkor, nous avions admiré les contrefaçons chinoises avec les fautes dans les écritures des marques 😀

A la recherche du souvenir parfait…

Quelques monuments et musees au kirghizstan

Soyons francs, il ne faut pas aller au Kirghizstan si vous cherchez à admirer les monuments ! Il n’y en a pas beaucoup, voir vraiment peu !  L’Ouzbékistan voisin a l’air d’avoir plus de lieux créés par l’homme à visiter. (Vous pourrez trouver des infos sur le blog Itinera MagicaPour les tarifs : 1 euro ~ 80 soms

La tour de Burana

Nous avons fait une halte à la tour de Burana, au patrimoine mondial de l’Unesco. Voilà : c’est une tour… 😀 Vestige d’une époque où elle était beaucoup plus grande. La montée dans la tour est épique : pas d’éclairage, des marches immenses, et on ne peut pas se croiser … mais très sympa quand même ! On retrouve aussi à l’arrière un jardin avec des pierres / sculptures, vestiges de temps ancien… Mais je n’ai pas retenu de quoi !

l’escalier pour monter au sommet de la tour de Burana

Visite à 60 soms/adulte – 10 soms/enfant

Caravanserail de Tash Rabat

J’ai été un peu déçue de ce caravanserail. Ce terme m’évoque toutes les épopées que j’ai pu lire jeune, avec les marchands qui s’arrêtaient au caravanserail… Je m’imaginais quelque chose d’immense, de labyrinthiques. Et en fait, ce n’est pas très grand… A peine plus de 30 m sur 30 m. Le bâtiment est bien conservé, mais je suis restée sur ma frustration de la taille du bâtiment! L’intérieur montre les pièces et leur agencement, mais pas de fresques ou autres.

l’intérieur du caravanserail -la coupole

Visite à 100 soms/adulte – 50 soms/enfant

Musee de Koshoy Korgon

Pour l’anecdote, nous avions dit à Vladimir que nous ne voulions pas visiter ce musée. Et on s’est retrouvé devant la porte… Bon, et bien nous allons quand même le visiter alors.. Et finalement ce fut une jolie découverte ! Les restes de la citadelle sont un joli parcours de bi-cross 😀 Le musée sur la route de la soie est intéressant. Il permet de voir un peu le quotidien de la vie de l’époque, les tracés, … Finalement merci Vladimir de ne pas nous avoir compris !

Visite à 200 soms pour tous

Nous avons aperçu un autre monument en la tombe du géant kirghize à Suusamyr, mais ne nous sommes pas arrêtés (là, on s’est compris !). Il y a un musée à côté, mais que Vladimir n’a jamais vu ouvert. Et donc, comme prévu, lors de notre passage, il était fermé !

On voit quand même le mausolée de la route !

Construction de yourtes

Au village de Kara Kou, Vladimir nous a proposé de visiter la maison/fabrique d’une famille qui fabrique des yourtes. Tout est fait à la main ! La plus grande des filles nous explique en anglais les différentes étapes de la fabrication d’une yourte : la taille du bois, sa mise en forme, son « traitement thermique », sa peinture, la découpe du tissu en feutre, sa décoration. C’est intéressant à voir !

Visite : 1 000 soms pour nous tous.

Yssyk kul, la riviera kirghize

Effectivement, on n’a pas été gêné par la foule!

Si si, vous avez bien lu ! Le kirghizstan a un côté balnéaire !! 🙂 La rive nord du lac Yssyk kul l’est même trop il parait ! Remplie de russes et de kazakhs …. J’ai donc choisi d’explorer celle du sud.

La rive sud d’Yssyk kul

Cette rive est plus sauvage. Il y a des villages qui ponctuent la côte mais de grandes portions sont sauvages. Nous avions choisi le village de Bokonbayevo comme point de chute. Finalement, le village de kaji say est plus pratique je pense.

Sur cette rive, on peut se baigner où on veut ! Les kirghizes posent leur yourte pour l’été et profite de la douceur du lac ! Il y a quelques plages « aménagées » mais nous n’avons pas testé. Vladimir nous a amené dans un canyon de Ak-Sai pour notre première baignade. Ce canyon était bien connu des kirghizes ! On se retrouve avec pleins de yourtes au bord de l’eau ! Le travail de l’eau dans ce canyon est impressionnant. Vous pourrez aussi y chercher un nid d’aigle…

Rencontre avec un aiglier

En parlant d’aigle, à bokonbayevo, vous pouvez rencontrer un chasseur à l’aigle royal. Vous pouvez faire la rencontre avec les photos, ou la chasse où un lapin est sacrifié. Nous avons choisi la deuxième, car les garçons sont habitués à voir des scènes de chasse des animaux (nous avons vu tous les National Geographic …). C’est une  belle occasion de voir une telle chasse dont nous choisissons de profiter. A savoir, qu’un aigle mange en été environ l’équivalent d’un lapin par jour (donc de toute façon, il sera mangé que ce soit devant nous ou pas…) .

Ils arrivent avec un aigle dans le coffre et l’autre sur les genoux à l’avant de la voiture ! Ouah ! On est dans les collines, autour de la ville, pour s’éloigner un peu : seuls avec deux aigles royaux. Ces oiseaux sont magnifiques. Splendides. Nous avons également pu les observer de très très près, les caresser et repartir avec une plume (qu’il avait perdu dans la voiture 😉 ) !

3000 soms pour nous tous

Canyon de skazka

A environ 45 minutes de route, le canyon de skazka fut également une excellente découverte. Canyon « aménagé », c’est-à-dire qu’il y a des yourtes au début… On se balade dans le canyon où on veut. D’ailleurs, heureusement qu’il n’y a pas trop de touristes, car sinon je ne donne pas long au site… La fréquentation n’est pas gênante dès qu’on s’éloigne un peu du parking.

On peut grimper en haut des concrétions ou se perdre dans le labyrinthe de pierre.  On y a passé facilement 1h30 à déambuler.

50 soms/personne

Cascades de Barskoon

Rencontre en chemin vers la grande cascade

La vallée de Barskoon constitue la route d’accès à une mine d’or. Du coup, la route est bien : c’est une piste, non poussiéreuse. Comment font-ils ?? C’est simple, un camion passe toutes les heures en arrosant :-O ! Vladimir nous dit qu’il y a du progrès car avant, ils faisaient cela avec de l’huile pour que cela dure plus longtemps… Je n’imagine pas l’état du sous-sol…

Le fameux camion « arrosoir »

Nous empruntons donc cette vallée qui fait plus alpine, avec des sapins, des montagnes abruptes et sa route encaissée. Les yourtes nous rappellent que l’on est bien en Asie centrale ! On arrive au site des cascades de Barskoon. Il y en a deux : une plus petite proche de la route (10 minutes de marche), et la seconde qui nécessite 1 heure de marche pour la rejoindre. Les chemins du Kirghizstan ne sont jamais balisés. Vous allez où bon vous semble ! Donc là, on grimpe en direction de la cascade sans souci car il y a d’autres personnes. L’ambiance est toujours bonne, typée « pique-nique dominical en famille ». La cascade est assez puissante, nous choisissons de ne pas trop nous approcher.

Chong Kemin

On quitte le lac d’Yssyk Kul, pour l’exploration des vallées . La vallée de Chong Keming constitue un des parcs nationaux du pays. Il l’appelle la petite Suisse. Mouais, Barskoon me rappelle plus la Suisse que Chong Keming, mais bon, on n’a pas fait toute cette route pour être en Suisse !

Cette vallée abrite une rivière tumultueuse, la Chon Kemin, sur laquelle il est possible de faire du rafting, mais nous n’avons pas regardé, Thibaut n’étant pas assez bon nageur à mon goût pour aller dans des rapides !

C’était notre première halte du voyage, nous avons déjà à nous faire au dépaysement ! Nous faisons le premier jour, une balade autour de notre guesthouse. Le second jour, Vladimir nous fait découvrir un petit lac le long de la route d’un col. Nous n’avons pas l’habitude pour les randonnées : on va où bon nous semble ! Donc là, on va s’attaquer à la montagne au dessus de nous ! 😀 Cela nous parait accessible, mais finalement c’est très raide car il n’y a que des chemins de chèvre ! On avance jusqu’à avoir bien faim, et du coup demi tour pour rejoindre le 4×4 et le pique nique. On poursuit tranquillement à jouer au bord de l’eau, à se baigner pour les garçons :-O et moi à me promener sur la route du col.

La route de la soie

Ce nom évoque le voyage à lui tout seul ! Il y a pleins d’itinéraires en fait… Les grands commerçants d’antan sont remplacés par les camions chinois, remplis de produits manufacturés. La soie, remplacée par le made  in china… Cependant, cela a permis la construction d’une bonne route ! Il faut garder son attention : il y a des marches de 30 cm en plein milieu parfois par contre 😀 …

Le paysage est sublime à perte de vue. Nous l’avons parcouru de Naryn au lac de Tchater Kul. Nous avons dû passer un poste « frontière ». Il y a une zone à proximité de la Chine qui nécessite un permis d’accès (dont je vous ai parlé dans le précédent article).

Tchater Kul

Perché à 3500 m d’altitude, ce lac est en dehors des circuits touristiques. Nous sommes absolument seuls avec les troupeaux. C’est magique ! Comme il n’y a rien d’autres que les troupeaux, nous devons bivouaquer (et faire notre nourriture). Vladimir vise entre les yourtes du berger. Logique, ils savent les endroits où l’eau est à proximité et où il y a moins de vent ! On installe notre bivouac de rêve. C’est juste waouh ! On va chercher l’eau au ruisseau, on prépare nos nouilles chinoises, c’est merveilleux ! Il commence à faire plus frais voir froid quand même !

Notre bivouac est l’occasion de profiter d’une belle nuit étoilée, où on ne résiste pas à l’occasion de jouer avec l’appareil photo 🙂

Au réveil, pour ne pas réveiller tout le monde, on s’éloigne pour aller admirer les troupeaux un peu plus loin. Un yak nous attire… Il est solitaire, mais en fait surplombe le troupeau ! Nous n’en avions pas encore vu alors nous sommes ravis de les contempler !! Des chevaux se mêlent au troupeau. Tout le monde a l’air de vivre en parfaite harmonie.

Troupeau de yaks et chevaux

Le solitaire qui nous a amené à son troupeau

Après notre petit dèj, nous partons nous balader dans le vallon derrière nous (et oui rappelez-vous, au kirghizstan on va où bon nous semble!). On n’a pas fait 500m, que la dame de la yourte voisine nous invite à partager le thé (et à nouveau manger l’équivalent du petit déj). Elle parle quelques mots d’anglais, et sinon Vladimir nous traduit. Elle est très chaleureuse et on découvre un petit bout de leur vie.

Les bergers rentrent chez eux

On continue notre balade dans un paysage splendide. On arrive alors dans une étroiture dans le canyon formé par le ruisseau, que l’on suit. Cela se transforme en randonnée ruisseling 😀 Fun, on s’amuse bien ! On fera demi-tour pour l’horaire, car nous n’avons pas prévu de pique-nique.  Vladimir nous laisse retourner seul et continue son exploration du vallon, mais rien de plus que ce que l’on a vu nous a-t-il dit.

Après une observation des taupes comme on n’avait jamais fait, on décide de retourner à la « civilisation » à Tash Rabat pour se couper la route du lendemain (et profiter du repas, pour changer de nos nouilles chinoises…) Et oui, il y a déjà 2h de route pour Tash Rabat, et ensuite il y en a 4 ou 5 h pour rejoindre Kochkor. Ce coin de bivouac est merveilleux mais il se mérite !

Lac de Song Kul

Le paysage de carte postale que vous voyez pour le kirghizstan : c’est ce lac ! Il se situe à 3000m d’altitude. Il est donc composé d’une grande prairie (jailoo) utilisée par les troupeaux et peuplée l’été par les yourtes de bergers. Le lac est accessible par 4 cols, plus ou moins difficiles… Nous sommes arrivés de Kochkor par le trajet le plus simple. Un autre col de Naryn est difficile, car la route / chemin est longue et tortueuse. Nous sommes allés voir ce col pour nous balader là-haut. Le mauvais temps nous aura rattrapés, mais la vue est quand même canon ! Nous avons emprunté le col vers Kara keche pour redescendre vers Kyzyl Oi. La route est longue et poussiéreuse. On traverse une mine de charbon d’ailleurs. La vallée est quand même très jolie, mais l’état de la route rallonge la journée.

Le lac de Song Kul est grand, pour en faire le tour, il doit falloir parcourir au moins 90 km ! Au kirghizstan tout est plus grand qu’il n’y parait ! Des randonnées à cheval ou à pied, permettent d’en faire le tour en plusieurs jours.

Pause escalade !

Le lac de Song Kul a développé un réseau de yourtes touristiques le plus important du pays (enfin je dis ça sans le savoir, mais vu le nombre je pense que cela doit être le cas !). Il doit y avoir près d’une centaine de yourtes disponibles tout autour du lac. La rive en venant de Kochkor nous a semblé être la mieux exposée pour la météo. Nous y avons passé nos 2 premières nuits, avant d’aller explorer l’autre rive (mais la pluie, nous a empêché de vraiment en profiter).

C’était beau avant que ça se gâte…

Mais que fait-on une fois la-haut ???

On se laisse vivre 🙂 Nous avons observé les oiseaux sur le lac, qui sont très beaux.

Nous avons marché au milieu des pâturages en regardant les troupeaux bouger. Nous avons admiré le travail des bergers qui mènent habilement leur troupeau !  

Pour finir, nous avons fait du cheval ! Il est très facile de faire du cheval au kirghizstan. Les kirghizes savent tous en faire. Nous avons demandé à notre yourte pour faire du cheval, et 30 minutes plus tard, nos chevaux étaient là ! Nous n’avons pas fait de grandes galopades, mais une balade au pas d’une heure à cheval est déjà bien cool ! Il est possible de faire plus long, avec un guide, etc… Le kirghizstan est très arrangeant, rappelez-vous !

Cependant, la facilité de faire du cheval peut vous déconcerter… Je sais parfaitement faire du cheval, j’ai pratiqué le tourisme équestre durant toute ma jeunesse / adolescence ; alors faire du cheval ne m’effraie pas du tout, ni gérer deux chevaux en même temps. Il n’y a pas de protections (exit les bottes, les bombes, etc…), il ne vaut donc mieux pas chuter. Je tenais le cheval de Thibaut et Arthur est monté avec Vladimir, car il était moins rassuré. La deuxième balade, ils ont pris chacun leur cheval, et on a marché à côté d’eux pour les tenir. M’occuper de 3 chevaux commençait à être un peu trop délicat 😀   . Pour faire avancer un cheval kirghize, c’est facile : un grand coup de talon et on dit « tchou »… Et ça marche super , même pour les petites jambes de Thibaut ! Pour s’arrêter, on tire sur les rênes, en disant « rrrrrr » en roulant le R. 😀 Ca marche très bien aussi.

Tarif : 300 soms / cheval / heure

Kyzyl Oi

Dernière étape de notre découverte du Kirghizstan, la vallée rouge de Suusamir, à la ville de Kyzyl Oi.

Nous avons moins apprécié que cela le mérite ce lieu, car c’était la fin du voyage et nous étions plus ou moins malade… Nous avons écourté notre séjour d’un jour, pour rentrer sur Bichkek.

Cependant, nous avons longé cette magnifique rivière, la kokemeren . Tumultueuse à souhait, il est difficile de s’en approcher, mais la route entre Kyzyl Oi et Kagoy offre de beau panorama. Les ponts sont chaotiques, et les moyens de la traverser sont surprenants ! (Les mamies n’ayaient pas peur en regardant cette photo, prises en direction de Suusamyr pour le coup ! c’était juste pour rigoler 🙂 )

  

A Kyzyl Oi, nous avons également profité pour … jouer au foot avec les petits du village 😀 (bah oui, c’est pas fatigant pour les parents malades ça !!) . Mais aussi, par une très jolie balade découverte le long de la rivière. A la sortie du village, on emprunte le pont (même pas peur !) puis on longe la rivière. Pas compliqué comme itinéraire ! Vladimir construit un arc, une canne à pêche : c’est un bon moment !

 

Et voilà, tout est là ! Notre voyage au kirghizstan nous a énormément plu. Cela met la barre très haute pour les prochains voyages ! 😀 N’hésitez pas à me demander des infos si vous avez besoin en laissant un petit commentaire en dessous. Cela peut servir à d’autres familles voyageuses !

 

13 commentaires :

  1. Bonjour,
    Je trouve que ces photos sont très jolies. J’aime beaucoup ce genre de paysages. C’est certainement impressionnant de voir un aigle royal de si près et de le prendre sur son bras.

  2. Les paysages sont grandioses ! On n’y pense pas forcément mais cette destination donne envie et hop à mettre sur la bucket list.

  3. Merci pour le clin d’oeil qui m’a amenée ici et fait rêver, rêver les yeux ouverts… c’est sûr, je reviendrai en Asie centrale. Magnifique, absolument renversant !

  4. Tu m’as fait rêver de bon matin avec tes superbe photos.
    Merci pour ce magnifique partage à travers ton billet

  5. belles photos, paysages grandioses, reportage très intéressant
    bravo Virginie

  6. Super article bien complet et qui montre qu’il y a tant de choses à voir au Kirghizstan parce qu’on n’a pas fait du tout le même itinéraire. Va falloir y retourner Merci aussi pour la mention, c’est super gentil. Bon par contre on est aussi arrivé à Bishkek par avion, on a pas de mérite

    • Je ne suis exhaustive que sur notre itinéraire, il y a effectivement pleins d’autres choses à voir dans le pays! Nous avons suivi en parti le même itinéraire (mais dans l’autre sens). Le col que vous avez fait à vélo, on l’a pris en voiture pour revenir, après la descente de Song kul. Et pour ce col, cela vaut l’imprécision d’être arrivé en avion et non en vélo 😀

  7. J’adore ton article et tes photos qui me plongent dans les souvenirs et me font découvrir de nouveaux lieux. Je n’avais pas vraiment eu le temps d’y faire du tourisme.
    Par contre tu as loupé le côté unique d’une station balnéaire russe. D’accord ça fait un peu fuir mais je ne regrette pas d’avoir vu yssik kul avec les touristes russes car c’est un spectacle bien différent de nos plages françaises !

    • Tu as raison. En ayant vu les vidéos de Vladimir (notre chauffeur) cela m’a fait envie d’y jeter un oeil ! Il y a pleins d’autres choses à découvrir au kirghizstan … je vois qu’une solution : y retourner!! 😀

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